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On espère on espère ...


Mariage gay en france ? Y a-t-il espoir ?

En France et depuis toujours, le mariage gay est interdit, en août dernier, un jeune couple lesbien a réclamé le droit au mariage entre personnes du même sexe, requête prise très au sérieux par la Justice française, parallèlement les actions citoyennes se font entendre. La France fera-t-elle un pas de géant dans la lutte contre l'homophobie ?

Le mariage homosexuel en France sera sans aucun doute un des sujets incontournables pour la campagne présidentielle de 2012.
Rappelons tout d'abord que l'interprétation actuelle des articles 75 et 144 du code civil interdit le mariage entre personnes du même sexe.

Au mois d'Aout dernier, dans la ville de Reims, un couple lesbien a réclamé le droit au mariage auprès du tribunal de grande instance.

Le 16 novembre 2010, la Cour de cassation a saisi le Conseil Constitutionnel pour examiner en profondeur la question de constitutionnalité du couple.
Avec cette requête, le couple à réussi à convaincre la justice à s'intéresser de nouveau au mariage gay.
Ce sujet, fait d'après la Cour de cassation "l’objet d’un large débat dans la société en raison, notamment, de l’évolution des moeurs et de la reconnaissance du mariage entre personnes du même sexe, dans les législations de plusieurs pays étrangers."

L'avocat du couple, Maitre Ludot, a d'ailleurs jugé que la France a du retard à rattraper puisqu'au 18 novembre 2010, et ce dans le monde entier, 10 pays ont légalisé le mariage gay : Pays-Bas (2000), Belgique (2003), Espagne (2005), Canada (2005), Afrique du Sud (2006), Norvège (2008), Suède (2009), Portugal (2010), Islande (2010) et Argentine (2010), auxquels s'ajoutent la ville de Mexico, cinq États des États-Unis et Washington.

Selon Philippe Rollandin, porte-parole de l'APGL (Association des parents et futurs parents gays et lesbiens), il y a peu de chances que le mariage gay soit acceptée mais la question sera au moins abordée, ce qui constitue déjà, une certaine avancée. L'avocate LGBT et élue EELV (Europe Ecologie - Les Verts) estime qu'il est probable que le conseil Constitutionnel s'en remette au législateur. L'audience publique du Conseil Constitutionnel aura lieu dans trois mois.

Parallèlement la mobilisation citoyenne se rassemble à Montpellier où à la mi-novembre, les grandes organisations de la communauté gay et lesbienne et Hélène Mandroux (PS) ont appelé à un rassemblement pour l'égalité des droits, en effet, d'après ces organisations, il est impensable qu'un pays comme la France, où les droits de l'Homme ont vu le jour, se cantonne aujourd'hui à interdire des droits aux personnes en fonction de leur orientation sexuelle.



Source

Infections sexuellement transmissibles -Yagg


Campagne santé, visibilité, sexualité pour les lesbiennes et les femmes qui ont des rapports sexuels avec les femmes, réalisée par Yagg avec l'Inpes.






Je te kiffe Blandine !! <3


Bonus de dernière minute : la tentation Marine





La verité sort de la bouche de Blan
Merci Blandine


Coming Back ou le retour de la lesbienne la plus dejantée du web


"Et voilà le dernier de la trilogie. Entre Star Wars et Martine à la plage, La p'tite Blan est de retour dans Coming Back !"





Ti article de Sortir entre Filles

Bande-Annonce (par Galou & Blan)

"Pour draguer, chacune sa méthode. Mais il est clair qu'on est nombreuses à se retrouver dans les scénarios des comédies à l'eau de rose ou dans les navets érotico-trash. On a tous et toutes usé et abusé de techniques de drague plus ou moins subtiles et discrètes pour arriver à nos fins... Et déchanter dès le lendemain.

Dans Coming Back, La p'tite Blan trouvera-t-elle l'amour ? Aux prises avec sa timidité légendaire et son extraversion extra-galactique, La p'tite Blan saura-t-elle faire le tri parmi ses nombreuses conquêtes ? Vous le saurez en lisant cet épisode et non pas le suivant."

Et alors ça donne quoi ?

Hé bien, ça donne une BD tordante où chaque planche fait mouche ! Galou & Blan nous régalent une troisième fois avec une p'tite Blan bien décidée à en découdre avec le légendaire... "Milieu Lesbien", le vrai, pas celui qu'on entrevoit derrière un écran notamment, non non non. Et ça la mène IRL à braver les épreuves que toute lesbienne se doit d'affronter pour décrocher la médaille de la "lesbiannitude".

Entre plans drague, faux plans et autres gueules de bois, la vie d'une lesbienne outée, comme chacune le sait, est compliquée... Pas facile de trouver l'amour, de se trouver et d'être fidèle à soi-même dans cette jungle homosexuée...

Ma conclusion : à travers le prisme Galou&Blan, la vie d'une lesbienne apparaît avec une exactitude déconcertante et désopilante. Ouuuhhh ! Çà sent le vécu tout ça ! Je suis fan fan fan ! Courrez l'acheter les yeux fermés

Bonus !

Allez bonus, quelques phrases cultes au hasard dont l'empreinte persiste encore dans mes zygomatiques :

"Comprendre, c'est mourir un peu !"

"Faîtes revenir la poilue !" mais là j'avoue, il faut le contexte pour apprécier pleinement..."

Je passe les échanges hilarants quand La p'tit Blan est en rencart et je finis avec ma préférée :

"La lesbienne n'est pas faite pour vivre en couple. C'est pas comme la femme tu vois..."

Allez j'arrête, si vous voulez la suite... achetez la BD !





Anti Nazis



Un bon nazi est un nazi MORT !!!!!










Droit des homos: le Nouvel Obs se penche sur «le retard français»



Source


L'hebdomadaire fait sa Une aujourd'hui sur cette particularité française d'être désormais en retard sur nombre de ses voisins européens pour les droits des homosexuels.

«Lancé dans les pays du Nord, le mouvement s'est diffusé comme une onde sur le Vieux continent, écrit le Nouvel Observateur dans le numéro qui paraît aujourd'hui. Mais bizarrement, il s'est arrêté aux frontières de l'Hexagone.» Quel mouvement? Celui du droit à l'égalité pour les couples homosexuels, alors que l'Islande ou le Portugal ont autorisé cette année le mariage pour les couples gays et lesbiens. «La France se retrouve donc aujourd'hui en compagnie de l'Italie dans le camp des conservateurs. Jusqu'à quand?» s'interroge l'hebdomadaire.

Et d'enfoncer le clou sur ce paradoxe: «57% de la population, soit deux Français sur trois, sont désormais favorables au mariage entre partenaires du même sexe», écrit l'Obs, citant un sondage BVA-Canal+ de novembre 2009, «contre 29% en 2000». De quoi faire dire à l'hebdomadaire que «désormais, la population est moins conservatrice que les politiques eux-même», tandis qu'«aucune des promesses de campagne de Nicolas Sarkozy (union civile, autorité parentale) n'a été tenue».















Cancres de l'Europe

Alors, «Comment font nos voisins?» Le magazine dresse un tour d'Europe des droits des homos, «pionniers» au Nord, avec les premiers mariages dès le 1er avril 2001 aux Pays-Bas, puis en Belgique, et sans doute grâce à «l'ouverture d'esprit des Eglises protestantes», la Norvège, la Suède et le Danemark qui font figure de modèles. Plus impressionnant encore, l'Espagne et désormais le Portugal, ont «malgré l'Eglise» réussi à imposer elles aussi le mariage des couples homos. Et à l'Est? «Pour bientôt» veut croire le magazine. Bref, de quoi faire passer la France et l'Italie (et tout de même l'Allemagne, qui n'a qu'un statut similaire au pacs) pour les cancres de l'Europe. Un rappel qui ne fait pas de mal à entendre…

A lire également dans ce dossier, l'interview de l'avocate Caroline Mécary, une «radiographie du réseau homo» qui fait avancer les droits, en France et à Bruxelles, et un point sur les homos dans l'armée américaine. Ainsi que les témoignages de Cyril et Philippe, qui ont obtenu l'exercice de l'autorité parentale sur leurs enfants adoptés (par l'un d'eux), de Valérie et Nancy, Françaises vivant aux Etats-Unis, qui ont dû se battre pour faire reconnaître en France le statut de mamans qu'elles avaient pourtant aux Etats-Unis, et de Muriel, qui raconte sa «famille soudée» et la délégation d'autorité parentale qu'elle a pu accorder à sa compagne.


Regardez une journaliste du Nouvel Observateur présenter le dossier:




Assumer l’homosexualité féminine


Rarissimes dans le paysage médiatique, les lesbiennes restent l’une des minorités sexuelles les plus invisibles à l’instar des homosexuels mâles.…


Au centre


Jodie Foster (l’actrice aux deux Oscars, deux Golden Globe, trois British Academy Award), Nina Bouraoui (prix Renaudot en 2005 pour son livre Les mauvaises pensées), Portia de Rossi (l’inoubliable Nelle de la série Ally Mc Beal), ou encore Sarah Bettens (leader emblématique du groupe K’s Choice), toutes ces femmes sont séduisantes et talentueuses mais ont un autre point commun : toutes ont fait le choix d’assumer au grand jour leur homosexualité.

Rarissimes dans le paysage médiatique, les lesbiennes restent l’une des minorités sexuelles les plus invisibles à l’instar des homosexuels mâles.

Au cliché télévisuel récurent de « la folle » véhiculé dès les années 70 pour matérialiser le gay dans la pensée populaire (par le biais de comédies guignolesques comme La cage aux folles), on a opposé deux fantasmes : la lesbienne de film X, objet de désir à la sexualité ludique et débridée (qui n’est jamais contre l’idée d’un tiers masculin), et en opposition, la butch, masculine et caricaturée dans le film Gazon maudit sous des airs de camionneuse pas franchement séduisante.

On se souviendra de la très douteuse représentation de la championne Amélie Mauresmo dans les Guignols de l’Info sur Canal+, dont la marionnette ressemblait davantage à un Schwarzenegger à cheveux longs qu’à une jolie athlète.

Comment trouver sa place dans ces clichés populaires ?

Le plus difficile semble de préserver ses proches de la violence sociale qui résulte de ces images caricaturales : « La première réaction de ma mère a été de me demander si j’allais couper mes cheveux longs et m’habiller comme un garçon. C’est comme si d’un coup je devais endosser un rôle, parce que j’étais homosexuelle », nous confie Claire, 31 ans.

« Sandra et moi étions en couple depuis deux ans quand j’en ai parlé à mes parents, c’était important pour moi de leur montrer que je pouvais être homosexuelle et stable, penser à l’avenir, à avoir des enfants », raconte Emilie, 29 ans.

« Finalement, il s’agissait surtout de les aider à se débarrasser de tous les préjugés que la société renvoie sur les homosexuels, leur montrer que nous ne sommes pas différents des autres, nous ressentons les mêmes besoins, les mêmes envies. »

Alors comment en parler ?

« Il faut sentir que c’est le moment, et c’est quelque chose de personnel, de propre à chacun, explique Marina Patakis, psychologue. Chacun a son cheminement, qui le renvoie à des mécanismes propres : la peur de parler de son homosexualité résulte la plupart du temps d’une peur d’être rejetée, de décevoir, de ne pas être comprise. Il y a des conséquences positives, parfois d’autres négatives : l’important c’est d’être au clair avec soi, et que le besoin d’être aimée pour qui l’on est prévale sur le reste. »

Le plus souvent, on en parle dans la sphère amicale pour commencer : cela permet de trouver une assise stable et compréhensive, mais aussi du soutien. Ensuite, on se lance, mais pour ça pas de recette magique : chacun y va de sa technique.

Décalée comme Agnès : « Ma mère m’a demandé si j’avais un copain, j’ai répondu : « Oui, elle s’appelle Sarah ! » », frontale comme Virginie : « Papa, maman, il faut que je vous parle… »

L’essentiel est de rester à l’écoute des angoisses de ses proches, tout en faisant respecter sa sphère intime : le message à faire passer est qu’il s’agit de votre vie privée, et que le plus important est que vous soyez heureuse et en harmonie avec vos choix.


Source : yahoo pour elles

La question qui tue



Tout étudiant s'est déjà posé au moins une fois dans sa vie cette question existentielle et crucial, quand vient le début d'un examen






On est le combien ?







Pff



Bien sur le problème majeur c'est bien entendu la neige et les routes en pentes, surement pas les pauvres sdf qui meurent de froid et ces simples gens qui ne font qu'appliquer les règles de leur religion et que les petits enfoirés de racistes persécutent sans arrêt. Et on en profite encore pour tout faire augmenter, sauf les salaires ça va de soi. Mais tout ça on s'en fou bien sur.

Enfoirés de merde va!!


Merry Christmas









Jingle bell, jingle bell, jingle bell rock
Jingle bells swing and jingle bells ring
Snowin' and blowin' up bushels of fun
Now the jingle hop has begun

Jingle bell, jingle bell, jingle bell rock
Jingle bells chime in jingle bell time
Dancin' and prancin' in Jingle Bell Square
In the frosty air

What a bright time, it's the right time
To rock the night away
Jingle bell time is a swell time
To go glidin' in a one-horse sleigh

Giddy-up jingle horse, pick up your feet
Jingle around the clock
Mix and a-mingle in the jinglin' feet
That's the jingle bell rock

Jingle bell, jingle bell, jingle bell rock
Jingle bells chime in jingle bell time
Dancin' and prancin' in Jingle Bell Square
In the frosty air

What a bright time, it's the right time
To rock the night away
Jingle bell time is a swell time
To go glidin' in a one-horse sleigh

Giddy-up jingle horse, pick up your feet
Jingle around the clock
Mix and a-mingle in the jinglin' feet
That's the jingle bell
That's the jingle bell
That's the jingle bell rock


L'amour n'a pas de sexe ...

  • " Je suis la fille mise à la porte de chez elle, parce que j’ai avoué à ma mère que j’étais lesbienne.
  • Je suis la prostituée qui tapine dans la rue, parce que personne ne va employer une femme transexuelle.
  • Je suis la soeur qui serre son frère homo dans ses bras durant ces nuits de pleurs et de douleur.
  • Nous sommes les parents qui ont fait le deuil de leur fille, bien avant sa mort.
  • Je suis l’homme qui est mort seul à l’hôpital, parce qu’ils ne voulaient pas le laisser rester dans ma chambre, lui qui a pourtant été mon partenaire pendant vingt-sept ans.
  • Je suis l’enfant placé, qui est réveillé par le cauchemar où l’on m’enlève loin de mes deux pères, qui sont la seule famille aimante que je n’aies jamais eue.
  • J’ai mal qu’ils ne puissent pas m’adopter.
  • Je fais partie des chanceux, je crois. J’ai survécu à l’agression qui m’a laissé dans le coma pendant trois semaines, et dans un an, je pense que je pourrais à nouveau marcher.
  • Je ne fais pas partie des chanceux. Je me suis suicidée quelques semaines avant mon diplôme. C’était trop à supporter, tout simplement.
  • Nous sommes le couple au nez duquel l’agente immobilière raccroche lorsqu’elle apprend que nous cherchons un appartement avec une chambre, pour deux hommes.
  • Je suis la personne qui ne sait jamais dans quelles toilettes aller si je veux éviter que l’administration ne m’en fasse la remarque.
  • Je suis la mère qui n’est pas même autorisée à voir les enfants que j’ai portés, nourris et élevés. La Cour a décidé que je n’étais pas une mère convenable : je vis avec une autre femme.
  • Je suis la victime de violences conjugales qui découvre que les associations d’aide deviennent soudain froides et distantes lorsqu’elles réalisent que mon partenaire abusif était aussi une femme.
  • Je suis la victime de violences conjugales qui n’a aucune association d’aide vers laquelle se tourner, parce que je suis un homme.
  • Je suis le père qui n’a jamais fait un câlin à son fils parce que j’ai grandi dans la peur de montrer de l’affection envers un homme.
  • Je suis la prof d’économie domestique qui a toujours voulu enseigner la gymnastique jusqu’à ce que quelqu’un me dise que seule les lesbiennes faisaient ça.
  • Je suis l’homme qui est mort quand les auxilliaires médicaux ont arrêté de me soigner, réalisant que j’étais transexuel.
  • Je suis la personne qui se sent coupable, parce que je pense que j’aurais été une bien meilleure personne si je n’avais pas toujours affaire à cette société qui me hait.
  • Je suis l’homme qui ne va plus à l’église, pas parce que je n’ai pas la foi, mais parce qu’ils ferment leurs portes aux gens comme moi.
  • Je suis la personne qui doit cacher ce dont ce monde a le plus besoin, l’amour. ”


Trouvé sur Facebook...

Joyeux Noyel !


Mon père veut garder le sapin neuf pour ses petits enfants ...

S'rai p'tet tant que je m'y mette moi

(reste pu qu'à trouver celui qui va s'appeler "papa" dans l'histoire ou le gentil donneur de semence ^^)










Histoire de rire



En toutes lettres

noir ? blanc
chiffre ? lettre
trottoir ? pute
argent ? trop cher
3 lettres ? spa
bordel ? gouvernement
dieu ? zidane
police ? poulet
kebab ? frites
froid ? glace au chocolat
chaud ? été
mini-jupe ? pétasse
claquer ? héritage
voisine ? chiante
vieux ? boulet
blonde ? blague
voiture ? vitesse
casser ? la voix
papier ? ciseaux
fête ? bourré
foot ? barthez
ballon ? contrôle
alcool ? beurré
jeune ? niqué
politique ? couillon
ville ? pollution
blanc ? poil
noir ? racisme
homme ? cocu
femme ? shopping
baffe ? bobo
jane ? tarzan
réunion ? banquet
classe ? dodo
gourmandise ? gâteau
poulet ? flic

Le compte est bon.
6 lettres, pas mieux...



cap ou pas cap ...

de manger des fourmis
d'insulter les grévistes
de faire le tour du monde en roller
de te marier demain
de piquer une bagnole
de manger un pot entier de piment
d'essayer de la crème dépilatoire sur tes cheveux
d'embrasser le premier venu
de faire un strip tease dans le bar du coin
de draguer la personne que tu détestes le plus
d'aimer une personne toute ta vie
de tout plaquer du jour au lendemain
de rejoindre la personne que tu aimes au bout du monde
de crier 'enfoirés, nuls à chier' au passage d'une voiture de policier
de manger des pâtes avec du ketchup, de la mayonnaise et de la moutarde
d'imiter lisa minelli devant tous tes copains
de répéter ' les canards sont des blédards ' 100 fois
de dire 'I love you' pendant dix minutes
de glisser un 'croustibate! qui peut te battre?' en plein milieu d'une conversation super sérieuse
de voter blanc à un concours de beauté
de faire un discours sur la marmotte qui met le chocolat dans le papier d'alu
de crier Aline pour qu'elle revienne
de demander à ton prof pourquoi la vache-qui-rit rit en plein cours
de te présenter à la nouvelle star
de t'habiller en mousquetaire pour aller à intermaché
de taper sur un tambourin pendant 20 minutes
d'entamer un concerto à une voix
de t'enfiler un pot entier de nutella en une minute
d'inspirer à fond dans la chaussure d'un sportif

de m'aimer comme je t'aime






Je hais Sainte Catherine


La fête de la sainte Catherine sert juste à rappeler aux jeunes femmes de moins de 25 ans qu'elles ne sont pas encore mariées. Pas très gentil.

Je hais cette fête !!







Je sais, c'est moche ...


Vu à la télé



une phrase qui ne veut rien dire, mais de toute façon la télé ne veut rien dire non plus.


Le fort boyard et des racines et des ailes c'est tout une histoire mais pour tourner les manèges c'est capital, bien qu'il faut un complément d'enquête, 66 minutes et un employé spécial pour faire entrer l'accusé dans une zone interdite au 12 coups de midi. En toutes lettres c'est des histoires et des vies mais si tout le monde veut prendre sa place c'est ma vie. En conclusion, vivement dimanche...




Très joli article



Source



«Mon fils est peut-être gay, et alors?» écrit une maman

Sur son blog, une maman a raconté comment son fils avait voulu s'habiller en Daphné, de «Scoubidou», pour Halloween. Une leçon de tolérance qu'un maximum de personnes devrait lire. C'est pourquoi nous reproduisons son texte en entier.



























A TÊTU, on s'est longtemps demandé comment vous parler de cette histoire qui nous a beaucoup touchés. On peut la lire sur le blog Nerdy Apple Bottom, écrite par une maman américaine de trois enfants, mariée à un policier, et qui vit dans la «Bible Belt» des Etats-Unis, cette zone du Sud-Est du pays réputée pour être conservatrice et religieuse.

Juste après Halloween, elle avait posté un petit billet dans lequel elle se disait fière de son fils Boo, qui avait osé se déguiser en personnage de Daphné, du dessin animé Scoubidou. Mais elle se disait encore choquée par les réactions suscitées. Et elle demandait «aux deux personnes susceptibles de me lire» si elles souhaitaient un récit plus développé. Finalement, début novembre, elle a posté le texte que nous traduisons en intégralité ci-dessous. A ce jour, il a suscité plus de… 40.000 commentaires. Et nous pensons qu'un maximum d'homos, de jeunes qui se posent des questions sur leur identité, ainsi que leurs parents, devraient le lire. Le voici donc.

Mon fils est gay. Ou pas. En fait, je m'en fiche. C'est toujours mon fils. Il a cinq ans, et je suis sa mère. Si vous avez un problème avec tout ce qui est écrit plus haut, je ne veux pas vous connaître.

J'ai beaucoup hésité avant de raconter sur ce blog plus en détail ce qui s'est passé avec mon fils et son costume pour Halloween. Ou, plus exactement, les réactions qu'il a suscitées. Mais puisque ça me démange encore plusieurs jours après, autant le faire et écrire mon point de vue.

Avant de commencer, quelques informations:

1. Mon fils a cinq ans et il va dans la crèche d'une église.
2. Il adore Scoubidou depuis qu'il est capable de focaliser son attention sur un objet plus de deux minutes.
3. Halloween est une fête dont le principe est de porter un costume.
4. L'église de mon fils a demandé aux enfants de se déguiser, faire un petit défilé, puis d'enlever les costumes pour le reste de la journée.
5. Le meilleur ami de Boo est une petite fille.
6. Boo a une sœur plus grande que lui.
7. Boo passe le plus clair de son temps avec moi.
8. Je suis une femme.
9. Je suis la mère de Boo, ce n'est pas vous.

Donc, quelques semaines avant Halloween, Boo décide qu'il veut se déguiser en Daphné de Scoubidou, avec sa meilleure amie. Il s'est déguisé en Scoubidou lui-même il y a deux ans. J'ai hésité avant d'investir dans le costume, non pas parce qu'il était d'un genre sexuel différent mais parce que les petits garçons changent souvent d'avis. Après quelques requêtes supplémentaires, j'ai dit d'accord, et acheté le costume. Il était tout excité quand celui-ci est arrivé. Il était parfait.

Plus on approchait du jour J, plus il était inquiet. On a discuté, et apparemment il avait peur qu'on rigole en le voyant. J'ai dit que si cela arrivait, ce serait parce qu'il était mignon et bien fait. Mais il a précisé que les rires seraient du genre “moqueries”. J'ai repoussé cette éventualité. Qui se moquerait d'un petit garçon déguisé?

Et puis, le jour est arrivé. On s'est déguisé. En arrivant à son école, Boo n'a pas voulu sortir de la voiture. Il avait peur des regards et de ce que l'on dirait de lui. Je l'ai convaincu de rentrer à l'intérieur. Il s'est arrêté à la porte. Il était visiblement inquiet. J'ai mis ça sur le fait que c'était un garçon plutôt anxieux en général. Et, sérieusement, QUI SE MOQUERAIT D'UN PETIT GARÇON DÉGUISÉ POUR HALLOWEEN? Ainsi, il est entré. Il y avait plusieurs de mes amies qui était au courant, qui ont souri et lui ont tapé dans la main. On a descendu le couloir vers sa classe.

C'est là que les choses ont dégénéré. Deux mères ont écarquillé les yeux et fait la grimace, l'air de se décomposer. Et je réalise que mon fils les a remarquées. Je dis donc: «Est-ce qu'il n'a pas l'air super?» Et la mère A dit d'un air dégoûté, «C'est lui qui a demandé à être ça?» Je réponds que bien sûr, à Halloween, on peut devenir tout ce qu'on veut. Elles continuent leur questions indiscrètes, inquisitrices, sur ce choix et mon refus de le convaincre de renoncer. La mère B est restée silencieuse, l'air consterné.

Et puis la mère C s'est approchée. Elle était restée dans le hall, nous avait vu entrer, et nous a suivis pour me donner son avis. C'était que je n'aurais jamais dû «autoriser» cela, et que Dieu merci ce n'était pas l'an prochain, quand il serait à la maternelle, parce qu'alors je n'aurais pas eu le choix et j'aurais dû l'interdire. A ceci, j'ai répondu que je n'aurais pas fait une chose pareille, je ne voyais même pas de quoi elle me parlait. Et elle a continué longuement sur le fait que ses camarades allaient être méchants avec lui, qu'ils le ridiculiseraient.

Ma réponse: les seuls à avoir un problème avec cela semblent être leurs mères.

Une autre maman a évoqué les journées de solidarité de certains lycées, où les garçons s'habillent en filles et inversement. J'ai cité les Powderpuff Games, où les footballeurs s'habillent en pom-pom girls, et inversement. Ou n'importe quelle soirée étudiante (Mère A a dit que son mari avait été étudiant et que JAMAIS il ne s'était habillé en fille).

Mais c'est bien le fond du problème: ce ne sont pas vos affaires.

«Si ma fille avait voulu s'habiller en Batman, personne n'aurait trouvé à y redire.» Si vous pensez que si j'accepte que mon fils s'habille en fille pour Halloween, ça va le “rendre” gay, vous êtes une sotte. D'abord, l'idée est idiote. Ensuite, si mon fils est gay, très bien. Je ne l'aimerai pas moins. Enfin, je ne m'inquiète pas qu'en grandissant, votre fils devienne effectivement un ninja, alors fichez-moi la paix.

Si ma fille avait voulu s'habiller en Batman, personne n'aurait trouvé à y redire. Personne.

Mais ce qui me brisait le cœur, c'est que mon petit garçon, qui est si gentil et qui ne pense jamais à mal, avait eu raison de se faire du souci. Il savait qu'il y aurait des gens tels que A, B ou C. Et lui, à cinq ans, était inquiet de comment il serait perçu et de ce qui lui arriverait.

Tout comme il était bouleversant de penser à ces parents qui ont perdu leurs enfants à cause des brimades qu'ils avaient subies. CE N'EST PAS NORMAL DE S'ATTAQUER AUX GENS. Même si on l'enrobe d'un joli papier et qu'on appelle ça de “l'inquiétude”. Ces femmes s'attaquaient à moi. Et à mon fils. MON fils.

Il est évident que je ne maltraite pas mes enfants. Ils ne sont pas parfaits, mais ils apprennent à naviguer dans ce vaste monde, qui est parfois cruel. Et j'ai horreur que mon fils ait appris ceci face à des dames qui se disent chrétiennes. J'ai horreur qu'elles aient eu ces pensées, et encore plus qu'elles n'aient pas eu honte de les exprimer. J'ai horreur que le rose soit encore une couleur réservée aux filles et que mon fils ait besoin de courage pour être Daphné à Halloween.

Et tout ce que j'espère pour mes enfants, et les vôtres, et ceux des mamans A, B, C, c'est qu'ils soient heureux. Si des collants mauves et une jupe en velours rendent mon fils heureux pour un soir, qu'il en soit ainsi. S'il veut porter un sac à main, ou épouser un homme, ou se faire les ongles avec sa meilleure copine, très bien. Mon boulot de maman n'est pas d'étouffer l'homme qu'il veut être, mais de l'aider à le devenir. Ce n'est pas de dire ce qui est “normal” et ce qui ne l'est pas, mais de l'aider à être quelqu'un de bien.

J'espère que c'est ce que je fais.

Et mon petit homme a porté son costume comme aucun autre. Il était canon avec sa perruque, et c'est tout ce que je voulais.





Vive la france


on augmente les prix
on supprime des postes
on augmente l'age de la retraite
on rabaisse les jeunes
on expulse des gens qui n'ont rien demandé
on s'en prend aux étrangers
on rabaisse les personnes "différentes"

Messieurs dames, la france va mal ...



Avec le gouvernement actuel c'est plutot "metro, boulot, boulot"
Je suis pas voyante mais je peux te dire qu'on est dans la merde



Petite chansonnette


t'es trop belle mon petit coeur
t'es qu'amour, mon bonheur
pour moi tu es ma petite hirondelle
t'es comme un gros soleil
et une vraie reine
t'es lumineuse ma princesse
t'es mon amour, ma déesse
t'es mon ange, ma nana
tu me rend trop gaga
je ferai tout pour toi mon coeur
tout, même le repassage et le beurre

rien a foutre



rien a foutre je bosserai pas jusqu'à 70 ans

on nous fait chier avec l'école dans l'enfance et l'adolescence
et on veut pas nous faire profiter de notre retraite

ils peuvent se le foutre là où je pense


Faut pas fumer parce que ça nuit à la santé, faut pas boire car c'est
dangereux pour la santé, faut pas manger trop gras trop sucré trop salé
c'est pas bon pour la santé... mais pour bosser jusqu'à plus de 62 ans là
l'Etat il s'en bat littéralement les couilles de notre santé.



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Phoebe Prince



Une bien triste histoire



Un hommage par Kylie Morgan





Voici deux articles expliquant l'histoire et son issue tragique

Neuf adolescents accusés après le suicide d'une élève

(Los Angeles) Elle se faisait insulter dans la cour d'école. Des injures apparaissaient sur l'écran de son téléphone portable. Des élèves la frappaient. Les enseignants ne s'en mêlaient pas.

Le harcèlement a duré trois mois. Il a pris fin le 14 janvier, quand Phoebe Prince, 15 ans, s'est pendue dans un placard en revenant de l'école.Ce jour-là, Phoebe Prince avait été frappée dans la bibliothèque et dans les couloirs. Après la classe, une élève lui avait lancé une canette en l'insultant publiquement.

Le drame a secoué la petite ville de South Hadley, dans le Massachusetts, où Phoebe Prince et sa famille avaient emménagé après avoir quitté l'Irlande l'automne dernier.

Lundi, l'histoire de Phoebe a fait les manchettes aux États-Unis, quand des accusations criminelles ont été portées contre neuf élèves de l'école, une mesure radicale et inhabituelle.

Selon la procureure Elizabeth D. Scheibel, les accusés cherchaient à rendre la vie impossible à Phoebe Prince pour qu'elle quitte l'école.

«Notre enquête a révélé qu'une campagne de harcèlement était dirigée contre Phoebe. Le comportement des accusés a largement dépassé les limites des querelles normales entre adolescents.»

Deux garçons et quatre filles âgés de 16 à 18 ans sont accusés de harcèlement criminel, de voies de fait et de violation des droits civiques. Les deux garçons sont accusés de viol sur une personne mineure. Le nom des trois autres accusés, qui ont moins de 16 ans, sont frappés d'un interdit de publication. Aucune date n'a encore été fixée pour le procès.

Menaces constantes

Les attaques ont commencé l'hiver dernier. Phoebe Prince a eu une liaison avec un garçon populaire de l'école. Cet épisode semble avoir mis le feu aux poudres: un groupe de jeunes filles a commencé à lui faire la vie dure.

Selon l'enquête, Mlle Prince se faisait traiter de «pute irlandaise» plusieurs fois par jour et recevait des menaces par messagerie texte. La campagne s'est aussi propagée sur Facebook, où des élèves publiaient des insultes sur la page de la jeune fille.

Les enquêteurs ont interrogé les filles impliquées dans le harcèlement. Quelques jours plus tard, selon le Boston Globe, certaines filles ont confié à des amis avoir joué la comédie devant eux.

L'enquête a également révélé que des enseignants et des membres de la direction de l'école secondaire de South Hadley, une petite ville située à 150km de Boston, étaient au courant de la campagne de harcèlement mais n'ont rien fait pour y remédier.

«L'action, ou plutôt l'inaction de certains adultes à l'école est troublante», a signalé Mme Scheibel. Toutefois, le comportement du personnel ne viole aucune loi au Massachusetts. La direction de l'école refuse de réagir aux accusations.

Quarante États américains interdisent nommément le harcèlement à l'école. Une telle loi est en préparation depuis quelques mois au Massachusetts et devrait être promulguée avant la fin de l'année.


Etats-Unis: neuf ados au tribunal après le suicide d'une jeune fille

Phoebe Prince, 15 ans, était harcelée et avait été violée dans l'école.

Neuf adolescents d’une même école vont être jugés dans le Massachusetts pour avoir harcelé une mineure qui a fini par se suicider, une affaire qui défraye la chronique aux Etats-Unis, où certains Etats n’ont pas de législation sur le harcèlement.

Six des jeunes gens, âgés de 16 à 18 ans, ont été inculpés lundi de violation des droits de l’homme et de harcèlement criminel, et deux d’entre eux ont en plus été inculpés de viol sur une personne mineure.

Trois autres adolescentes ont été inculpées la semaine dernière par un tribunal pour mineurs de «coups et blessures portés au moyen de canettes, bouteilles et autres objets contondants», a indiqué un communiqué du parquet de la région, au nord-est des Etats-Unis, signé du procureur général Elizabeth Scheibel.

Un porte-parole du tribunal de Northampton devant lequel ils doivent d’abord s’entendre notifier leurs inculpations, puis être jugés, a indiqué à l’AFP que ni la date de comparution ni celle du procès n’avaient encore été fixées.

Le 14 janvier dernier, Phoebe Prince, 15 ans, une adolescente arrivée d’Irlande à la rentrée 2009, était retrouvée pendue dans la cage d’escalier de son domicile par sa soeur rentrant de classe, dans la petite ville de South Adley. Située à environ 150 km à l’ouest de Boston, South Adley est une bourgade d’un peu plus de 17.000 habitants, où la population est blanche à plus de 94%.

D’après les enquêteurs, la jeune fille avait été violée ce jour là dans la bibliothèque et dans un couloir de l’école, et des cannettes de boisson avaient été ensuite lancées sur elle alors qu’elle s’enfuyait. Elle était également victime de harcèlement par courriel et sur des réseaux sociaux, mais c’est surtout à l’école que tout s’est passé, ont-ils souligné.

Le lendemain du drame, une autre adolescente, Rebecca Brouillard, décidait de parler à la presse locale et de raconter qu’elle même subissait des sévices et traitements humiliants depuis plus de deux ans. «Dès la parution de l’article, ma fille a été à nouveau harcelée, et même physiquement battue», a raconté à l’AFP son père, Mitchell Brouillard.

«Il y a dans cet établissement un petit groupe d’élèves particulièrement agressifs et furieux, pour des raisons qui nous échappent», a-t-il ajouté.

Apparemment, l’administration du lycée était au courant de ce qui se passait mais n’en n’avait pas saisi la gravité.

«Avant la mort de Phoebe, sa mère avait parlé à deux reprises à des responsables, rapportant les récits de sa fille», a souligné Elizabeth Scheibel au cours d’une conférence de presse.

Le procureur a ajouté qu’une enquête était en cours pour déterminer si le comportement du personnel scolaire pouvait être considéré comme criminel. «Pour l’instant, nous pensons que non, mais les actes ou l’absence de réaction de certains adultes de l’école posent problème», a-t-elle ajouté, selon le Boston Herald.

«Certains parents pensent que l’administration de l’école doit être considérée collectivement responsable et qu’il devrait y avoir des démissions», a reconnu M. Brouillard. «Personnellement je suis indécis, mais nous sommes un groupe de parents d’élèves qui travaillons sur la question», a-t-il ajouté sans vouloir faire plus de commentaire.

«Il faut une loi qui rende obligatoire la formation du personnel des établissements scolaires», a souligné dans une interview à l’AFP Robert Trestan, avocat spécialiste des droits de l’homme et responsable de la Ligue anti-diffamation.

«Nous espérons que le parlement du Massachusetts l’adoptera dans quelques semaines et le gouverneur a promis de la promulguer», a-t-il conclu.

(Source AFP)



STOP

Le "trou du cul" de Sarkozy de retour sur Google grâce à ses équipes de communication ?

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Un article bien marrant

Le fait que l'expression "trou du cul" renvoie désormais vers la page Facebook de Nicolas Sarkozy pourrait être la faute, bien involontaire, des équipes de communication du chef de l'Etat.



La presse s'est faite l'écho ces derniers jours du "Google Bombing" dont aurait de nouveau été victime Nicolas Sarkozy, dont la page Facebook figure en tête des résultats du moteur de recherche pour l'expression "Trou du cul". Nous n'en avions pas parlé sur Numerama, car l'anecdote n'avait en soit rien de très nouveau, comme l'avait d'ailleurs souligné le Nouvel Obs qui en retraçait l'historique. On se souvient entre autres que Michelle Obama avait aussi subi le même genre de traitement infâme, lorsqu'une photo la montrant sous les traits d'une guenon était apparue en tête des résultats.

Mais l'explication du "sabotage" dont a été victime le chef de l'Etat ce mois-ci pourrait être savoureuse, puisqu'il pourrait s'agir en fait d'un "inside job" bien involontaire, issu d'un malheureux concours de circonstances.

En juillet 2009, un premier Google Bombing avait déjà visé le Président, dont le site de campagne Sarkozy.fr avait été associé à l'expression "Trou du cul du web". Par une modification de ses algorithmes, ou par un déclassement manuel que Google assure officiellement ne jamais réaliser, l'association avait ensuite disparue.

Puis soudain, sans que personne n'ait vent d'une opération concertée visant à réitérer le google bombing de l'an dernier, "trou du cul" guide de nouveau vers le site du Président, ou plutôt cette fois vers sa page Facebook. Etrange. Mais le blog spécialisé Pink Hat SEO avance une explication qui paraît convaincante :

Nous sommes face à deux possibilités, soit il s'agit d'un bombing organisé par des personnes plutôt douées, car les liens sont bien cachés et/ou les redirections 301 sont utilisées avec sagesse, soit la redirection 302 du site Sarkozy.fr vers la page Facebook du président a entrainé le positionnement de la page en question. Le site était positionné sur trou du cul du web en 2009, Google était intervenu pour filtrer ce résultat. Cette redirection et ce changement de domaine a pu faire sauter le filtre (comme le sous-entend Seg).

En clair, Google avait donné du poids dans ses bases de données à l'expression "trou du cul du web" pour le nom de domaine Sarkozy.fr. Mais par l'effet d'un filtre mystérieux, le site du chef de l'Etat a été ensuite immunisé dans l'affichage des pages de résultat. Cependant, en opérant récemment une redirection de Sarkozy.fr vers la page Facebook de Nicolas Sarkozy, Google a transféré tout le poids de l'expression "trou du cul" vers cette dernière, ce qui a fait sauter l'effet du filtre magique.



Ps : pour trouver cette article, très facile : aller sur google, taper "trou du cul" et cliquer sur 'j'ai de la chance' ;)




homophobie



source :
http://gay-flag.skyrock.com/1854641289-qu-est-ce-que-l-homophobie.html


l'homophobie est une attitude d'hostilité ou d'exclusion envers les personnes homosexuelles, hommes et femmes.


Comme le racisme, l'homophobie ne repose sur aucun fondement sérieux. Elle considère l'homosexualité comme inférieure, anormale et marginale. Pourtant l'homosexualité existe en tout temps et en tout lieu.
L'homophobie est dévastatrice. De l'agression homophobe violente, voire mortelle, jusqu'à la peur constante et intérieure du rejet, elle prend de multiples formes. Aucune n'est négligeable. Il ne s'agit pas de dramatiser, mais bien de faire prendre conscience du problème. Car ce n'est pas gagné !









NON !!


Une fille qui bécote une autre femme est-il choquant ? NON
Deux hommes qui s'embrassent est-il choquant ? NON
Un enfant élevé par deux femmes ou deux hommes est-il anormal ? NON
L'homophobie est-il naturel ? NON
L'homophobie tue ? OUI
Les préjugés et les discriminations sont-il justes ? NON
Les interdictions et les limitations selon l'orientation sexuelle, la couleur de peau ou l'origine ethnique sont-il justifiés ? NON

Comme moi dites NON A L'INJUSTICE !!





Ellen Degeneres et Portia Derossi


Mon couple préférée
Un exemple pour nous tous


Article - l'homosuexualité assumée chez les peoples


Le mariage de Ellen Degeneres et Portia Derossi





Voici un petit article sur l'homosexualité assumée chez les popoles
trouvé ICI


Les assumés
Publié le 28 novembre 2008 à 19h21

On pourrait penser que l'image de l'homosexualité tend à s'intégrer de plus en plus dans la société.

Malheureusement, comme nous avons pu le voir récemment lors du rejet de la Proposition 8 concernant le mariage homosexuel, les tabous et préjugés ont encore de beaux jours devant eux.

Si aujourd'hui surprendre deux hommes ou deux femmes s'embrasser choque de moins en moins, c'est certainement grâce aux coming-out médiatisés des stars qui ont ouvertement assumé et affiché leur homosexualité.

L'importance et l'officialisation qu'engendre le mariage permet de véhiculer une image bien différente ancrée dans l'inconscient collectif, ces préjugés qui bien souvent confondent homosexualité et inconstance.

Le couple Brad Pitt- Angelina Jolie a d'ailleurs déclaré qu'eux-mêmes ne se marieraient que lorsque le mariage gay sera légal aux États-Unis.

De nombreux mariages ont été célébrés dès que les lois l'ont permis, Portia de Rossi avec sa compagne Ellen DeGeneres, Elton John avec son compagnon David Furnish, ou, plus près de nous Anne-Laure Sitbon (ex-star academycienne) avec Vanessa Delcourt en Belgique.

L'acte d'amour devient acte militant.

Sans en faire étalage et tentant de préserver leur vie intime, comme tout un chacun, des stars ont sues en toute discrétion faire accepter à leur public leur homosexualité. Jodie Foster qui a élevé durant près de quinze ans ses deux enfants avec son ex-compagne Cydney Bernard ne vient que très récemment d'« officialiser » leur relation lors d'une remise de prix. Ou encore Muriel Robin qui a fait le choix de révéler son homosexualité tout en refusant l'étalage de sa vie privée dans les magazines people.

Le chemin, pour en arriver à la révélation de son homosexualité, et donc de permettre à quiconque de pénétrer dans sa vie privée, est parfois long et douloureux. Pierre Palmade ne confie sa préférence que depuis très peu de temps, sujet dont il traite avec brio et sensibilité dans sa dernière pièce Le Comique.

Mais si chez certains leur vie privée n'a rien d'ostentatoire, il est difficile de s'y tromper pour d'autres. Boy George, Freddie Mercury, Almodovar, Vincent McDoom ne vont pas hésiter à en jouer. Brouillant les pistes, les codes vestimentaires, les provocations allant parfois jusqu'à l'outrance, ils ont néanmoins obtenu la reconnaissance publique et de leur pair.

Chacun, à travers leur mode d'expression, ont assumé et par la même occasion donné leur point de vue, rendant au grand public l'image d'une sexualité plus proche d'eux et libérées.

Il y a encore beaucoup de chemin à faire avant que les états ne tolèrent et n'acceptent le droit de s'aimer librement.

La société évolue en Europe, heureusement. Et aujourd'hui, le spectre d'Oscar Wilde et de sa condamnation pour délit d'homosexualité à 2 ans de travaux forcés semble lointain.