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On espère on espère ...


Mariage gay en france ? Y a-t-il espoir ?

En France et depuis toujours, le mariage gay est interdit, en août dernier, un jeune couple lesbien a réclamé le droit au mariage entre personnes du même sexe, requête prise très au sérieux par la Justice française, parallèlement les actions citoyennes se font entendre. La France fera-t-elle un pas de géant dans la lutte contre l'homophobie ?

Le mariage homosexuel en France sera sans aucun doute un des sujets incontournables pour la campagne présidentielle de 2012.
Rappelons tout d'abord que l'interprétation actuelle des articles 75 et 144 du code civil interdit le mariage entre personnes du même sexe.

Au mois d'Aout dernier, dans la ville de Reims, un couple lesbien a réclamé le droit au mariage auprès du tribunal de grande instance.

Le 16 novembre 2010, la Cour de cassation a saisi le Conseil Constitutionnel pour examiner en profondeur la question de constitutionnalité du couple.
Avec cette requête, le couple à réussi à convaincre la justice à s'intéresser de nouveau au mariage gay.
Ce sujet, fait d'après la Cour de cassation "l’objet d’un large débat dans la société en raison, notamment, de l’évolution des moeurs et de la reconnaissance du mariage entre personnes du même sexe, dans les législations de plusieurs pays étrangers."

L'avocat du couple, Maitre Ludot, a d'ailleurs jugé que la France a du retard à rattraper puisqu'au 18 novembre 2010, et ce dans le monde entier, 10 pays ont légalisé le mariage gay : Pays-Bas (2000), Belgique (2003), Espagne (2005), Canada (2005), Afrique du Sud (2006), Norvège (2008), Suède (2009), Portugal (2010), Islande (2010) et Argentine (2010), auxquels s'ajoutent la ville de Mexico, cinq États des États-Unis et Washington.

Selon Philippe Rollandin, porte-parole de l'APGL (Association des parents et futurs parents gays et lesbiens), il y a peu de chances que le mariage gay soit acceptée mais la question sera au moins abordée, ce qui constitue déjà, une certaine avancée. L'avocate LGBT et élue EELV (Europe Ecologie - Les Verts) estime qu'il est probable que le conseil Constitutionnel s'en remette au législateur. L'audience publique du Conseil Constitutionnel aura lieu dans trois mois.

Parallèlement la mobilisation citoyenne se rassemble à Montpellier où à la mi-novembre, les grandes organisations de la communauté gay et lesbienne et Hélène Mandroux (PS) ont appelé à un rassemblement pour l'égalité des droits, en effet, d'après ces organisations, il est impensable qu'un pays comme la France, où les droits de l'Homme ont vu le jour, se cantonne aujourd'hui à interdire des droits aux personnes en fonction de leur orientation sexuelle.



Source

Infections sexuellement transmissibles -Yagg


Campagne santé, visibilité, sexualité pour les lesbiennes et les femmes qui ont des rapports sexuels avec les femmes, réalisée par Yagg avec l'Inpes.






Je te kiffe Blandine !! <3


Bonus de dernière minute : la tentation Marine





La verité sort de la bouche de Blan
Merci Blandine


Coming Back ou le retour de la lesbienne la plus dejantée du web


"Et voilà le dernier de la trilogie. Entre Star Wars et Martine à la plage, La p'tite Blan est de retour dans Coming Back !"





Ti article de Sortir entre Filles

Bande-Annonce (par Galou & Blan)

"Pour draguer, chacune sa méthode. Mais il est clair qu'on est nombreuses à se retrouver dans les scénarios des comédies à l'eau de rose ou dans les navets érotico-trash. On a tous et toutes usé et abusé de techniques de drague plus ou moins subtiles et discrètes pour arriver à nos fins... Et déchanter dès le lendemain.

Dans Coming Back, La p'tite Blan trouvera-t-elle l'amour ? Aux prises avec sa timidité légendaire et son extraversion extra-galactique, La p'tite Blan saura-t-elle faire le tri parmi ses nombreuses conquêtes ? Vous le saurez en lisant cet épisode et non pas le suivant."

Et alors ça donne quoi ?

Hé bien, ça donne une BD tordante où chaque planche fait mouche ! Galou & Blan nous régalent une troisième fois avec une p'tite Blan bien décidée à en découdre avec le légendaire... "Milieu Lesbien", le vrai, pas celui qu'on entrevoit derrière un écran notamment, non non non. Et ça la mène IRL à braver les épreuves que toute lesbienne se doit d'affronter pour décrocher la médaille de la "lesbiannitude".

Entre plans drague, faux plans et autres gueules de bois, la vie d'une lesbienne outée, comme chacune le sait, est compliquée... Pas facile de trouver l'amour, de se trouver et d'être fidèle à soi-même dans cette jungle homosexuée...

Ma conclusion : à travers le prisme Galou&Blan, la vie d'une lesbienne apparaît avec une exactitude déconcertante et désopilante. Ouuuhhh ! Çà sent le vécu tout ça ! Je suis fan fan fan ! Courrez l'acheter les yeux fermés

Bonus !

Allez bonus, quelques phrases cultes au hasard dont l'empreinte persiste encore dans mes zygomatiques :

"Comprendre, c'est mourir un peu !"

"Faîtes revenir la poilue !" mais là j'avoue, il faut le contexte pour apprécier pleinement..."

Je passe les échanges hilarants quand La p'tit Blan est en rencart et je finis avec ma préférée :

"La lesbienne n'est pas faite pour vivre en couple. C'est pas comme la femme tu vois..."

Allez j'arrête, si vous voulez la suite... achetez la BD !





Anti Nazis



Un bon nazi est un nazi MORT !!!!!










Droit des homos: le Nouvel Obs se penche sur «le retard français»



Source


L'hebdomadaire fait sa Une aujourd'hui sur cette particularité française d'être désormais en retard sur nombre de ses voisins européens pour les droits des homosexuels.

«Lancé dans les pays du Nord, le mouvement s'est diffusé comme une onde sur le Vieux continent, écrit le Nouvel Observateur dans le numéro qui paraît aujourd'hui. Mais bizarrement, il s'est arrêté aux frontières de l'Hexagone.» Quel mouvement? Celui du droit à l'égalité pour les couples homosexuels, alors que l'Islande ou le Portugal ont autorisé cette année le mariage pour les couples gays et lesbiens. «La France se retrouve donc aujourd'hui en compagnie de l'Italie dans le camp des conservateurs. Jusqu'à quand?» s'interroge l'hebdomadaire.

Et d'enfoncer le clou sur ce paradoxe: «57% de la population, soit deux Français sur trois, sont désormais favorables au mariage entre partenaires du même sexe», écrit l'Obs, citant un sondage BVA-Canal+ de novembre 2009, «contre 29% en 2000». De quoi faire dire à l'hebdomadaire que «désormais, la population est moins conservatrice que les politiques eux-même», tandis qu'«aucune des promesses de campagne de Nicolas Sarkozy (union civile, autorité parentale) n'a été tenue».















Cancres de l'Europe

Alors, «Comment font nos voisins?» Le magazine dresse un tour d'Europe des droits des homos, «pionniers» au Nord, avec les premiers mariages dès le 1er avril 2001 aux Pays-Bas, puis en Belgique, et sans doute grâce à «l'ouverture d'esprit des Eglises protestantes», la Norvège, la Suède et le Danemark qui font figure de modèles. Plus impressionnant encore, l'Espagne et désormais le Portugal, ont «malgré l'Eglise» réussi à imposer elles aussi le mariage des couples homos. Et à l'Est? «Pour bientôt» veut croire le magazine. Bref, de quoi faire passer la France et l'Italie (et tout de même l'Allemagne, qui n'a qu'un statut similaire au pacs) pour les cancres de l'Europe. Un rappel qui ne fait pas de mal à entendre…

A lire également dans ce dossier, l'interview de l'avocate Caroline Mécary, une «radiographie du réseau homo» qui fait avancer les droits, en France et à Bruxelles, et un point sur les homos dans l'armée américaine. Ainsi que les témoignages de Cyril et Philippe, qui ont obtenu l'exercice de l'autorité parentale sur leurs enfants adoptés (par l'un d'eux), de Valérie et Nancy, Françaises vivant aux Etats-Unis, qui ont dû se battre pour faire reconnaître en France le statut de mamans qu'elles avaient pourtant aux Etats-Unis, et de Muriel, qui raconte sa «famille soudée» et la délégation d'autorité parentale qu'elle a pu accorder à sa compagne.


Regardez une journaliste du Nouvel Observateur présenter le dossier:




Assumer l’homosexualité féminine


Rarissimes dans le paysage médiatique, les lesbiennes restent l’une des minorités sexuelles les plus invisibles à l’instar des homosexuels mâles.…


Au centre


Jodie Foster (l’actrice aux deux Oscars, deux Golden Globe, trois British Academy Award), Nina Bouraoui (prix Renaudot en 2005 pour son livre Les mauvaises pensées), Portia de Rossi (l’inoubliable Nelle de la série Ally Mc Beal), ou encore Sarah Bettens (leader emblématique du groupe K’s Choice), toutes ces femmes sont séduisantes et talentueuses mais ont un autre point commun : toutes ont fait le choix d’assumer au grand jour leur homosexualité.

Rarissimes dans le paysage médiatique, les lesbiennes restent l’une des minorités sexuelles les plus invisibles à l’instar des homosexuels mâles.

Au cliché télévisuel récurent de « la folle » véhiculé dès les années 70 pour matérialiser le gay dans la pensée populaire (par le biais de comédies guignolesques comme La cage aux folles), on a opposé deux fantasmes : la lesbienne de film X, objet de désir à la sexualité ludique et débridée (qui n’est jamais contre l’idée d’un tiers masculin), et en opposition, la butch, masculine et caricaturée dans le film Gazon maudit sous des airs de camionneuse pas franchement séduisante.

On se souviendra de la très douteuse représentation de la championne Amélie Mauresmo dans les Guignols de l’Info sur Canal+, dont la marionnette ressemblait davantage à un Schwarzenegger à cheveux longs qu’à une jolie athlète.

Comment trouver sa place dans ces clichés populaires ?

Le plus difficile semble de préserver ses proches de la violence sociale qui résulte de ces images caricaturales : « La première réaction de ma mère a été de me demander si j’allais couper mes cheveux longs et m’habiller comme un garçon. C’est comme si d’un coup je devais endosser un rôle, parce que j’étais homosexuelle », nous confie Claire, 31 ans.

« Sandra et moi étions en couple depuis deux ans quand j’en ai parlé à mes parents, c’était important pour moi de leur montrer que je pouvais être homosexuelle et stable, penser à l’avenir, à avoir des enfants », raconte Emilie, 29 ans.

« Finalement, il s’agissait surtout de les aider à se débarrasser de tous les préjugés que la société renvoie sur les homosexuels, leur montrer que nous ne sommes pas différents des autres, nous ressentons les mêmes besoins, les mêmes envies. »

Alors comment en parler ?

« Il faut sentir que c’est le moment, et c’est quelque chose de personnel, de propre à chacun, explique Marina Patakis, psychologue. Chacun a son cheminement, qui le renvoie à des mécanismes propres : la peur de parler de son homosexualité résulte la plupart du temps d’une peur d’être rejetée, de décevoir, de ne pas être comprise. Il y a des conséquences positives, parfois d’autres négatives : l’important c’est d’être au clair avec soi, et que le besoin d’être aimée pour qui l’on est prévale sur le reste. »

Le plus souvent, on en parle dans la sphère amicale pour commencer : cela permet de trouver une assise stable et compréhensive, mais aussi du soutien. Ensuite, on se lance, mais pour ça pas de recette magique : chacun y va de sa technique.

Décalée comme Agnès : « Ma mère m’a demandé si j’avais un copain, j’ai répondu : « Oui, elle s’appelle Sarah ! » », frontale comme Virginie : « Papa, maman, il faut que je vous parle… »

L’essentiel est de rester à l’écoute des angoisses de ses proches, tout en faisant respecter sa sphère intime : le message à faire passer est qu’il s’agit de votre vie privée, et que le plus important est que vous soyez heureuse et en harmonie avec vos choix.


Source : yahoo pour elles

La question qui tue



Tout étudiant s'est déjà posé au moins une fois dans sa vie cette question existentielle et crucial, quand vient le début d'un examen






On est le combien ?







Pff



Bien sur le problème majeur c'est bien entendu la neige et les routes en pentes, surement pas les pauvres sdf qui meurent de froid et ces simples gens qui ne font qu'appliquer les règles de leur religion et que les petits enfoirés de racistes persécutent sans arrêt. Et on en profite encore pour tout faire augmenter, sauf les salaires ça va de soi. Mais tout ça on s'en fou bien sur.

Enfoirés de merde va!!


Merry Christmas









Jingle bell, jingle bell, jingle bell rock
Jingle bells swing and jingle bells ring
Snowin' and blowin' up bushels of fun
Now the jingle hop has begun

Jingle bell, jingle bell, jingle bell rock
Jingle bells chime in jingle bell time
Dancin' and prancin' in Jingle Bell Square
In the frosty air

What a bright time, it's the right time
To rock the night away
Jingle bell time is a swell time
To go glidin' in a one-horse sleigh

Giddy-up jingle horse, pick up your feet
Jingle around the clock
Mix and a-mingle in the jinglin' feet
That's the jingle bell rock

Jingle bell, jingle bell, jingle bell rock
Jingle bells chime in jingle bell time
Dancin' and prancin' in Jingle Bell Square
In the frosty air

What a bright time, it's the right time
To rock the night away
Jingle bell time is a swell time
To go glidin' in a one-horse sleigh

Giddy-up jingle horse, pick up your feet
Jingle around the clock
Mix and a-mingle in the jinglin' feet
That's the jingle bell
That's the jingle bell
That's the jingle bell rock


L'amour n'a pas de sexe ...

  • " Je suis la fille mise à la porte de chez elle, parce que j’ai avoué à ma mère que j’étais lesbienne.
  • Je suis la prostituée qui tapine dans la rue, parce que personne ne va employer une femme transexuelle.
  • Je suis la soeur qui serre son frère homo dans ses bras durant ces nuits de pleurs et de douleur.
  • Nous sommes les parents qui ont fait le deuil de leur fille, bien avant sa mort.
  • Je suis l’homme qui est mort seul à l’hôpital, parce qu’ils ne voulaient pas le laisser rester dans ma chambre, lui qui a pourtant été mon partenaire pendant vingt-sept ans.
  • Je suis l’enfant placé, qui est réveillé par le cauchemar où l’on m’enlève loin de mes deux pères, qui sont la seule famille aimante que je n’aies jamais eue.
  • J’ai mal qu’ils ne puissent pas m’adopter.
  • Je fais partie des chanceux, je crois. J’ai survécu à l’agression qui m’a laissé dans le coma pendant trois semaines, et dans un an, je pense que je pourrais à nouveau marcher.
  • Je ne fais pas partie des chanceux. Je me suis suicidée quelques semaines avant mon diplôme. C’était trop à supporter, tout simplement.
  • Nous sommes le couple au nez duquel l’agente immobilière raccroche lorsqu’elle apprend que nous cherchons un appartement avec une chambre, pour deux hommes.
  • Je suis la personne qui ne sait jamais dans quelles toilettes aller si je veux éviter que l’administration ne m’en fasse la remarque.
  • Je suis la mère qui n’est pas même autorisée à voir les enfants que j’ai portés, nourris et élevés. La Cour a décidé que je n’étais pas une mère convenable : je vis avec une autre femme.
  • Je suis la victime de violences conjugales qui découvre que les associations d’aide deviennent soudain froides et distantes lorsqu’elles réalisent que mon partenaire abusif était aussi une femme.
  • Je suis la victime de violences conjugales qui n’a aucune association d’aide vers laquelle se tourner, parce que je suis un homme.
  • Je suis le père qui n’a jamais fait un câlin à son fils parce que j’ai grandi dans la peur de montrer de l’affection envers un homme.
  • Je suis la prof d’économie domestique qui a toujours voulu enseigner la gymnastique jusqu’à ce que quelqu’un me dise que seule les lesbiennes faisaient ça.
  • Je suis l’homme qui est mort quand les auxilliaires médicaux ont arrêté de me soigner, réalisant que j’étais transexuel.
  • Je suis la personne qui se sent coupable, parce que je pense que j’aurais été une bien meilleure personne si je n’avais pas toujours affaire à cette société qui me hait.
  • Je suis l’homme qui ne va plus à l’église, pas parce que je n’ai pas la foi, mais parce qu’ils ferment leurs portes aux gens comme moi.
  • Je suis la personne qui doit cacher ce dont ce monde a le plus besoin, l’amour. ”


Trouvé sur Facebook...

Joyeux Noyel !


Mon père veut garder le sapin neuf pour ses petits enfants ...

S'rai p'tet tant que je m'y mette moi

(reste pu qu'à trouver celui qui va s'appeler "papa" dans l'histoire ou le gentil donneur de semence ^^)